Pétition à l'attention des députés - Assemblée nationale
NON à l'avortement dans la constitution
NON à l'avortement dans la constitution
Quelques jours auparavant, notamment grâce à votre mobilisation, le Sénat a rejeté de manière claire, une proposition de loi visant à inscrire l'avortement dans la constitution !
Mais, Renaissance (Ex-LREM) et l'extrême-gauche, incapable de répondre aux préoccupations des Français, reviennent à la charge à l'Assemblée nationale pour que l'avortement soit inscrit dans la constitution.
Une nouvelle fois, la gauche utilise le chiffon des mesures sociétales, de l’avortement pour cacher leur incompétence pour améliorer le quotidien des Français !
Aurore Bergé, Présidente du groupe Renaissance précise que «Modifier notre Constitution» est un «processus difficile, mais c'est une volonté farouche» pour que «le droit à l'interruption volontaire de grossesse ne puisse être remis en question» !
Alors qu'Emmanuel Macron, président de la République ne s'est pas formellement prononcé en faveur d'une constitutionnalisation de l'avortement, il est nécessaire que le parti présidentiel reprenne les esprits !
Car, l'adoption de cette proposition de loi à l'Assemblée nationale ne pourra se faire que d'une seule manière : avec le soutien des députés d'extrême-gauche de la NUPES.
Malheureusement, la seule opposition des députés Les Républicains et Rassemblement national ne serait pas suffisante pour rejeter la Proposition de loi constitutionnelle.
Ainsi, Renaissance, pour faire voter une proposition de loi constitutionnelle, est prêt à s'allier avec les extrémistes de la NUPES qui :
- Soutiennent la Gestation pour Autrui (GPA)
- soutiennent farouchement l'endoctrinement à l'idéologie du genre pour les enfants
- manifestent avec des organisations islamistes dans les rues de Paris, en criant "Allah Akbar"
- critiquent les forces de l'ordre dès qu'ils le peuvent et souhaitent le désarmement, si ce n'est la disparition de la police.
- Stigmatisent en permanence les "Français", les "Blancs" par électoralisme pour plaire à leur nouvel électorat issu des banlieues.
Renaissance est donc prêt à toutes les compromissions pour faire adopter cette proposition de loi ?
Il est à noter qu’en 2018, LREM avait rejeté cette proposition, estimant que ce « droit » était suffisamment garanti.
Afin d’être adoptée, cette proposition de révision doit être votée dans les mêmes termes par l’Assemblée nationale et le Sénat. Le Sénat a déjà rejeté cette proposition de loi, cette obstination de Renaissance est scandaleuse alors que les Français doivent faire face à une inflation galopante !
Pour Rappel, Yaël Braun-Pivet, ancienne Présidente de la Commission des lois et actuelle présidente de l’Assemblée nationale disait en 2018 : « Nul besoin de brandir des peurs relatives à ce qui se passe dans d’autres pays pour estimer que ces droits seraient menacés dans le nôtre, ce n’est absolument pas le cas aujourd’hui, rien ne vous permet de l’affirmer ».
J'ai besoin de votre aide.
En effet, il est nécessaire que cette proposition de loi soit refusée par l'Assemblée nationale !
Si cette dernière était acceptée par l'Assemblée nationale et rejetée par le Sénat, la Consitution prévoit la mise en place d'un référendum populaire selon l'Article 11 de la Constitution !
Nous devons donc faire pression auprès de Renaissance afin qu'ils abandonnent cette proposition de loi, soutenue par l'extrême-gauche !